Nouveaux mémoires sur l'état présent de la Chine, Volume 1Chez Jean Anisson, 1697 - China |
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Common terms and phrases
affez agreable ainſi aprés aſſez auffi auſſi avoient avoit beſoin c'eſt celuy cens Chine Chinois choſe confiderable Confucius connoiſſance connoiſtre coſté coûtume d'eſtre dépenſe dés deſſein differentes diverſes enſuite eſpece eſprit eſt ſi eſt vray eſté eſtions eſtoient eſtoit eſtre euſt fans feüilles foient foit font forte gouft j'ay j'en ay juſqu'à juſques l'Empereur l'Empire l'eſprit l'uſage laiſſent lieuës maiſons maiſtre Mandarins maniere matiere mefme ment meſme Miſſionnaires monde MONSEIGNEUR n'eſt n'eſtoit Nankin neanmoins neceſſaire noftre noſtre ordinairement païs paroiſſent paroiſt particuliere paſſe Pekin perſonne peuple peut-eſtre plaiſir pluſieurs premiere prés preſent preſque Prince Province quoy quoy-que reſpect reſte ruës s'eſt ſans ſatin ſçavoir ſçay ſciences ſe ſont ſe trouve ſelon ſemblables ſemble ſens ſeroit ſert ſervent ſervir ſes ſeul ſeule ſeulement ſoin ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſoye ſuis ſuite ſur Tartares teſte toûjours tres vaiſſeau verité Voicy
Popular passages
Page 214 - Ils veulent qu'un homme soit grand, gros et gras, qu'il ait le front large, les yeux petits et plats, le nez court, les oreilles un peu grandes, la bouche médiocre, la barbe longue et les cheveux noirs.
Page 374 - dans les vallées et au pied des montagnes. Le » meilleur vient dans les terroirs pierreux. » Celui qu'on plante dans les terres légères, » tient le second rang. Le moindre de .tous » se trouve dans les terres jaunes. Mais en . » quelque endroit qu'on le cultive, il faut avoir » soin de l'exposer au midi : il en a plus de » force , et il porte trois ans après avoir été » planté. La racine de l'arbrisseau ressemble » à celle du pêcher , et ses fleurs aux roses
Page 276 - Comte, feroient des ap» partemens fort raifonnables. . . . Les » lanternes ordinaires font compofées » de fix faces ou panneaux , dont cha» cun fait un cadre de quatre pieds de » haut , & d'un pied & demi de large , » d'un bois vernis & orné de quelques
Page 137 - ... dont le lambris eft enrichi de diverfes peintures , fi néanmoins les peintures de la Chine font capables d'enrichir un appartement. Les mu...
Page 135 - Pere , fur un maffif de brique , qui » forme un grand perron entouré d'une » baluftrade de marbre brut. On y » monte par un efcalier de dix à douze » marches , qui regne tout autour. La » falle qui fert de temple a cent pieds » de profondeur, & porte fur une pe» tite bafe de marbre haute d'un pied , »> laquelle en débordant laifle tout au*, tour DES CHINOIS.
Page 277 - Ces fix panneaux joints enfemble , compofent un hexagone , fupmonté dans les extrémités de fix figures de fculpture qui en font le couronnement. On y fufpend tout-autour de larges bandes de fatin de toutes couleurs , en.
Page 136 - Cependan-t au fond , cet embarras ne vient que de » l'ignorance des ouvriers , qui n'ont' » pu trouver encore cette belle fim» plicité qu'on remarque dans nos bâ» timens, & qui en font Ja folidité &.
Page 297 - Lecomte et tous les autres Missionnaires , n'a aucune analogie avec toutes celles qui ont cours dans le monde. Rien de commun ni dans le son des paroles , ni dans la prononciation des mots, ni dans l'arrangement des idées. Tout est mystérieux dans cette langue : on peut en apprendre les termes dans deux heures , quoiqu'il faille plusieurs années d'étude pour la parler. On peut savoir lire tous les livres , et les bien entendre , sans y rien comprendre si un autre en fait la lecture.
Page 138 - Les murailles des étages supérieurs sont percées d'une infinité de petites niches qu'on a remplies d'idoles en bas-reliefs, ce qui fait une espèce de marquetage très-propre : tout l'ouvrage est doré et parait de marbre ou de pierre ciselée.
Page 86 - ... au mouvement du ciel. Outre cela, bien loin » de négliger l'exécution de mes ordres, il a paru en » toutes choses exact, diligent, fidèle et constant dans =• le travail jusqu'à la fin de son ouvrage et toujours égal » à lui-même. » Dès que j'ai appris sa maladie , je lui ai envoyé mon » médecin : mais quand j'ai su que le sommeil de la mort