Philosophie fendamentale, Volume 2A. Vaton, 1864 - Philosophy, German |
Contents
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Common terms and phrases
absolue abstraction actes activité affirmer aristotéliciens bilité c'est-à-dire CHAPITRE chose concepts concevoir concevons Condillac condition connaissance considérer corporel corps corps mathématiquement Descartes déterminée Dieu difficulté dire distinction divisibilité éléments espace espèce étendue eucharistique existe existence externe facultés sensitives fonction logique forme idées générales idées géométriques implique impossible impressions indéterminée inétendus infinie intelli intelligence intelligible intuition Kant Koenigsberg l'acte intellectuel l'âme l'entendement pur l'espace l'esprit l'essence l'ex l'existence l'expérience l'idée de l'étendue l'idée de l'être l'imagination l'infini l'intuition sensible l'objet l'ordre idéal l'ordre réel l'ordre sensible l'unité l'univers Leibnitz lignes limite manière ment métaphysique monde extérieur n'existe nature nécessaire négation non-être non-seulement objet pensée perception perçoit phénoménale philosophe possible pouvons présente principe de contradiction proposition propriété purs esprits qu'une question raison rapport réalité représentation sensible rien saurait scep science scolastiques semble sens sensation serait seulement sible simple sorte sphère subjective substance suppose système tence tion toutefois transcendantale triangle vérité voilà
Popular passages
Page 342 - ... il est impossible qu'une chose soit et ne soit pas en même temps ; le tout est plus grand que sa partie, et autres qu'il combat de bonne foi.
Page 59 - J'ai déjà vu que mes idées sur l'essence des choses sont des degrés réels de l'être , qui sont actuellement existants en Dieu, et possibles hors de lui , parce qu'il peut les produire. L'étendue est donc en lui , et il ne peut la produire au dehors qu'à cause qu'elle est renfermée dans la plénitude de son être. D'où vient donc que je ne le nomme point étendu et corporel ? C'est qu'il ya une extrême différence...
Page 64 - Toutes ces expressions qui le rapportent à quelque terme , qui le fixent à un certain lieu, sont impropres et indécentes. Où est-il donc? Il est; et il est tellement, qu'il faut bien se garder de demander où. Ce qui n'est qu'à demi , ce qui n'est qu'avec des bornes, est tellement une certaine chose, qu'il n'est que cette chose précisément. Pour lui, il n'est précisément aucune chose singulière et restreinte : il est tout; il est l'être; ou, pour dire encore mieux en disant plus simplement,...
Page 63 - Demander s'il est au delà de l'univers, s'il en surpasse les extrémités en longueur, largeur, profondeur; c'est faire une question aussi absurde que de demander s'il était avant que le monde fût, et s'il sera encore après que le monde ne sera plus. Comme il ne peut y avoir en Dieu ni passé ni futur, il ne peut y avoir aussi en lui au delà ni au deçà.
Page 61 - ... du vrai infini , ni changer l'arrangement et la situation de ses parties, puisqu'il n'a aucunes parties dont il soit composé ; enfin l'impénétrabilité, puisqu'on ne peut concevoir l'impénétrabilité qu'en concevant deux corps bornés, dont l'un n'est point l'autre, et dont l'un ne peut occuper le même espace que l'autre. Il n'ya point deux corps de la sorte dans l'étendue infinie et indivisible : donc il n'ya point en elle d'impénétrabilité.
Page 402 - Prétendre que l'espace infini est sans parties, c'est prétendre que les espaces finis ne le composent point, et que l'espace infini pourrait subsister quand tous les espaces finis seraient réduits à rien.
Page 406 - ... 82. Si Dieu sent ce qui se passe dans le monde , par le moyen d'un sensorium, il semble que les choses agissent sur lui, et qu'ainsi il est comme on conçoit Vâme du monde.
Page 398 - Pour réfuter l'imagination de ceux qui prennent l'espace pour une substance, ou du moins pour quelque être absolu , j'ai plusieurs démonstrations ; mais je ne veux me servir à présent que de celle dont on me fournit ici l'occasion.
Page 411 - Sed quia phantasmata non sufficiunt immutare intellectum possibilem, sed oportet quod fiant intelligibilia actu per intellectum agentem; non potest dici quod sensibilis cognitio sit totalis et perfecta causa intellectualis cognitionis, sed magis quodammodo est materia causae.
Page 398 - L'espace fini, ou infini, est absolument indivisible, même par la pensée; car on ne peut s'imaginer que ses parties se séparent l'une de l'autre, sans s'imaginer qu'elles sortent, pour ainsi dire, hors d'elles-mêmes; et cependant l'espace n'est pas un simple point.