Éléments de géométrie |
Common terms and phrases
abaissée ABCD ABCDE adjacents angles dièdres angles plans angles solides arcs arêtes aura base bissectrice centre cercle circ circonférence circonscrit cône corde Corollaire côté BC côtés égaux côtés homologues côtés opposés coupent cylindre décagone diagonales diamètre division égal à l'angle également distants équivalent faces fuseau gles hauteur inscrit joignez l'angle dièdre l'arc l'hypotenuse lieu géométrique mène menons mesure la moitié nombre des côtés paral parallelipipède parallelogramme pendiculaire périmètre perpendi perpendicu perpendiculaire au plan plan MN plans parallèles polaire pôle polyèdre polyèdre régulier polygone régulier polygone sphérique PROBLÈME proportionnels PROPOSITION VII pyramide quadrilatère rayon SABC Scolie segment sera égal Soient somme des angles sommet sphère Supposons symétrique tangente tétraèdres THÉORÈME trian triangle ABC triangle rectangle triangle sphérique triangles semblables trièdre
Popular passages
Page 12 - Deux triangles sont égaux, lorsqu'ils ont un côté égal adjacent à deux angles égaux chacun à chacun.
Page 167 - On appelle projection d'un point sur un plan le pied de la perpendiculaire abaissée de ce point sur le plan. La projection d'une ligne...
Page 14 - BC est égal à EF; donc l'angle A ne peut être ni plus grand ni plus petit que l'angle D; donc il lui est égal. On prouvera de même que l'angle B=E, et que l'angle C = F.
Page 38 - Car cette perpendiculaire n'est autre que celle qui serait abaissée du centre sur la même corde , puisqu'elles passent toutes deux par le milieu de la corde. PROPOSITION VII.
Page 91 - BOC, boc, sont donc semblables comme ayant un angle égal compris entre côtés proportionnels.
Page 303 - JLl ne peut y avoir que cinq polyèdres réguliers. Car on a défini polyèdres réguliers ceux dont toutes les faces sont des polygones réguliers égaux , et dont tous les angles solides sont égaux entre eux. Ces conditions ne peuvent avoir lieu que dans un petit nombre de cas. i°...
Page 147 - Démontrer que, dans un trapèze, la somme des carrés des diagonales est égale à la somme des carrés des côtés opposés non parallèles, plus deux fois le rectangle des bases parallèles.