 Il l'amena une seconde fois; je dis la même chose. Il remit les dés dans le cornet trois, quatre, cinq fois ; et toujours rafle de six. « Sangue di Bacco ! m'écriai-je , les dés sont » pipés.  Calcul des probabilités - Page viide Joseph Bertrand - 1889 - 332 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 584 pages
...premier coup. Je dis : celle chance étoit possible. Il l'amena sur-le-champ une seconde fois. Je dis la même chose. Il remit les dés dans le cornet trois, quatre, cinq fois, el toujours rafle de six. Sangue de Eacco ! m'écriaije , les dés sont pipés : et ils l'éloient.... | |
 | Stewart - 1823 - 398 pages
...rafle de six. Je dis : Cette chance était possible. Il l'amena sur-le-champ une seconde fois. Je dis la même chose. Il remit les dés dans le cornet, trois, quatre, cinq fois; et toujours rafle de six. Sangue diBacco, m'écriai-je, les dés sont pipés l et ils l'étaient. >> Philosophes, quand... | |
 | Jacques Delille - 1822 - 226 pages
...cette cbarice était possible. Il l'amena sur-le-champ » une seconde fois ; je dis la même chcse. Il remit les » dés dans le cornet trois , quatre , cinq fois , et tou« jours rafle de six. Sangue di Bacco ! m'écriai-je , » les dés sont pipés ; et ils l'étaient.... | |
 | Stewart Dugald - 1823 - 394 pages
...rafle de six. Je dis : Cette chance était possible. Il l'amena sur-le-champ une seconde fois. Je dis la même chose. Il remit les dés dans le cornet, trois, quatre, cinq fois; et toujours rafle de six..Sangue diBacco, m'écriai-je, les dés sont pipés! et ils l'étaient. » Philosophes , quand... | |
 | Gian Pietro Vieusseux - 1823 - 574 pages
...Je dis: cette chance était possible. Il l'amena sur-le-champ une seconde fois ; je dis la méncie cho.se. Il remit les dés dans le cornet trois , quatre, cinq fois, et toujours rafie de six. Sangue di Bacco m'écriai-je, les dés soni pipés ; et ils l'etaient. « Philosophes... | |
 | Dugald Stewart - 1829 - 288 pages
...rafle de six. Je dis : Cette chance était possible. H l'amena sur-le.champ une seconde fois. Je dis la même chose. Il remit les dés dans le cornet, trois , quatre , cinq fois ; et tou. jours rafle de six. Sangue dt Bacco , m'écriai-je, les dés sont pipés! et ils l'étaient. «... | |
 | Jacques Delille - 1834 - 438 pages
...cette chance » était possible. Il l'amena sur-le-champ une seconde fois; » je dis la même chose. II remit les dés dans le cornet trois, » quatre, cinq fois, et toujours rade de six. Sanguedi Banco! » m'écriai-je , les ries sont pipes y et ils l'étaient. » Philosophes,... | |
 | Jean Joseph Delauro-Dubez - 1837 - 542 pages
...l'amena du premier coup. Je dis:' cette chance était possible. Il l'amena une seconde fois ; je dis la même chose. Il remit les dés dans le cornet , trois , quatre , cinq fois j et toujours rafle de six. Sangue di bacco f m'écriai-je , les dés soiit pipés ; et ils" Pétaient^... | |
 | Thomas Browne Browne - 1838 - 274 pages
...rafle de six. Je dis cette chance étoit possible. Il l'amena sur-le-champ une seconde fois; je dis la même chose. Il remit les dés dans le cornet trois, quatre, cinq fois, et toujours rafle de six. Sartgue di Bacco, m'ecriai-je, les dés sont pipés ; et ils l'étoient. " Philosophes, quand... | |
 | 1842 - 554 pages
...et paria d'amener rafle de six, il l'amena du premier coup. Je dis : Cette chante était possible. Il remit les dés dans le cornet, trois, quatre, cinq fois; et toujours rafle de six : Par Bacchus, m'écriai-je, les dés sont pipés, et ils l'étaient. « Philosophes, quand je... | |
| |
